Organisé en région Hauts-de-France par le Hub pour un numérique inclusif en Hauts de France, les Assembleurs, le webinaire sur le Numérique en Commun (NEC) a réuni quelque 150 participants le 23 septembre 2020.

 

Urgence sociale et accompagnement

Cédric O, secrétaire d’État chargé de la transition numérique et des communications électroniques, est ainsi venu Ã  la rencontre d'élus du Pas-de-Calais et des professionnels afin de répondre aux attentes sur le plan de relance et les pistes de réflexion et d’actions à mettre en place. Ce webinaire a permis de présenter les travaux portés par le collectif Les Assembleurs dans la région depuis un an, comme le déploiement des Pass numériques, la cartographie, les nouveaux métiers autour de la médiation numérique.

Animés par Pop, le débat a permis le partage d'une vision portée par plusieurs institutions ou personnalités sur l’inclusion numérique et de la médiation numérique en Hauts de France à horizon 2025 : région, préfecture du Pas-de-Calais, conseil départemental du Pas-de-Calais, communauté urbaine d'Arras,députés du Pas-de-Calais.

Les questions étaient au centre des débats portaient sur les enjeux régionaux sur l'inclusion numérique et les leviers d'action en fonction des publics. Deux d'entre eux sont au coeur de l'inclusion numérique : l'urgence sociale qu'est  l'exclusion au numérique - l'illectronisme - d'au moins 20 % de la population, d'une part, et l'accompagnement des habitants des territoires à la transformation sociétale induites par le numérique et ses outils, d'autre part.

 

Quatre enjeux et quatre publics majeurs

Le consortium des Assembleurs mobilise quatre axes d'action pour répondre à ces enjeux : l'accès à l'équipement (matériel et accès partagé, prêts et mutualisation, démos, conseils et achats groupés), l'accompagnement dans les démarches administrative ou pour la résolution de problèmes, la fourniture des services comme diffuser une annonce, prendre rendez-vous chez le médecin, s'inscrire à une formation - Mooc - imprimer un document ou encore apprendre à maîtriser le numérique par une montée en compétence personnelle mais aussi professionnelle dans l'utilisation des outils, avec à la clé formations et emplois.

Ces axes d'actions ne peuvent se comprendre et être opérationnels sans que des publics ne soient définis. Habitants, professionnels dont les acteurs économiques, acteurs éducatifs, associatifs, culturels, acteurs publics sont ceux qui sont en première ligne.

 

 "Allez vers" les lieux pour la médiation numérique

Les intervenants se sont accordés pour dire qu'il ne faut pas confondre les lieux de domiciliation des opérateurs des lieux où devrait se faire la médiation numérique. Il s'agit de passer d'une situation où un médiateur sort très peu du lieu où il travaille vers une situation où le médiateur va vers les publics. La "plasticité du numérique", selon le terme de Cédric O, implique ainsi que les acteurs de la médiation doivent se rapprocher des lieux de vie des personnes les plus éloignées du numérique : par exemple un Ehpad, une maison de quartier,  une maison France servies, une gare, un marché... pour "allez vers" les publics. 

 

Les nouveaux métiers du numérique

Parler d'acteurs de la médiation ou de médiateurs du numérique est un terme qui recouvre en fait plusieurs métiers et fonctions différentes. Quatre fonctions peuvent être repérées.

Les aidants numériques apportent une aide de premier niveau, identifier le besoin, répondre aux questions sociales et réorienter vers les médiateurs le cas échéant.

Les médiateurs numériques ont un rôle d'interface avec le monde numérique pour aider les personnes à montée en compétence et pour les accompagner vers l'autonomie des usages numériques. Il peut réorienter vers les travailleurs sciauxpour les questions relatives au sociale ou vers les agents France service pour les questions administratives.

Les facilitateurs ou animateur de lieu, ont un rôle d'accueil, de service et de programmation d'activités dans les lieux accueillant du public pour organiser l'accès et la médiation au numérique, l'accés aux équipements et services, l'organisation et planning des lieux, le pilotage d'intervenants.

 

Cette nouvelle offre de services et d'acteurs demande une coordination des opérateurs, principalement par les communes ou les intercommunalités pour être dans la proximité des populations.

 

La journée du 23 septembre s’inscrit dans une dynamique nationale des NEC, celui des Hauts de France a été le second à se réunir dans des conditions de distanciation et de respect des règles sanitaires.

Le HUB "les Assembleurs" est un consortium réunissant le Siilab, laboratoire d'innovation publique facilité par la DRJSCS, la région et Pop, trois acteurs majeurs qui Å“uvrent pour faciliter l’inclusion numérique sur les cinq départements hauts-français.

En savoir +

https://les.assembleurs.co/
https://youtu.be/aMtuEnBDceg

 

 

logo mouvement associatifFace à crise économique liée à la pandémie de SARS-COV, le Mouvement associatif a dressé le bilan de la situation des associations (article ESS). Les dix mesures phares qu’il propose pourraient permettre de sauvegarder le tissu associatif et de l’économie sociale et solidaire.

 

1/ Créer un fonds de stabilisation
Ce fonds de stabilisation, complémentaire des autres dispositifs, soutiendrait le fonctionnement des associations et des têtes de réseau face à la forte diminution de leurs activités et recettes. Il pourrait être porté dans le cadre du Fonds de développement pour la vie associative (FDVA).


2/ Exonérer la taxe sur les salaires sur 2020 et 2021
Une exonération de la taxe sur les salaires sur 2020 et 2021 serait de nature à soutenir les employeurs associatifs pour faire face aux conséquences de la crise. En moyenne, les associations payent près de 190 000 euros par an de taxe sur les salaires, soit près de 6% de la masse salariale (2018) et 3,4% de leur budget.


3/ Créer une procédure de sauvegarde et de proximité spécifique pour les associations ayant une activité économique
Deux mesures seraient de nature à construire un cadre d’échange uniformisé dans les différents territoires. Il est indispensable de construire une procédure de sauvegarde auprès de l’autorité judiciaire plus accessibles aux associations face aux difficultés économiques. Il s’agit également de pouvoir disposer d’un interlocuteur « associations » au sein des tribunaux judiciaires et des tribunaux de proximité. pour les sécuriser.

 

4/ Inciter fiscalement le versement de dons pour les associations d’intérêt général
En lien avec France Générosités porter à 75% la déduction des dons des particuliers pour les associations œuvrant pour l’intérêt général Quels moyens ? Intégration d’une disposition dans le projet de loi de finances rectificative pour 2020 et le projet de loi de finances pour 2021.

 

5/ Renforcer les fonds propres associatives
Une partie des pertes générées par la crise sanitaire va devoir être financée par les fonds associatifs. Une dotation exceptionnelle au fond associatif (sans et/ou avec droit de reprise sur 15 à 20 ans) pourrait permettre la reconstitution structurelle et le renforcement de la solidité économique de ces structures.


6/ Sécuriser les financements des têtes de réseau associatives
Un moratoire national pluriannuel pourrait garantir aux têtes de réseau associatives les niveaux de subventions 2020 pour pouvoir soutenir et accompagner leurs propres réseaux associatifs à partir de moyens à minima stabilisés.


7/ Finaliser le vote de la proposition de loi en faveur de la trésorerie des associations
Actuellement en deuxième lecture au Sénat cette proposition de loi, comportant des mesures importantes pour soutenir la trésorerie des associations, est plus que jamais nécessaire afin de pouvoir assoir la possibilité pour les associations de conserver un excédent raisonnable dans le cadre de financements publics, de pouvoir réaliser des prêts entre elles, et de finaliser le dispositif de fléchage des fonds des comptes bancaires inactifs entériné par le dernier projet de loi de finances vers le FDVA.


8/ Créer 100 000 emplois d’utilité citoyenne dédiés aux transitions
Prévoir dès 2021 le déploiement sur trois ans de 100 000 « emplois d’utilité citoyenne » dédiés aux transitions. Ce dispositif a vocation à permettre le renforcement et le développement de projets associatifs contribuant au maintien de services de proximité pour tous et d’activités dans les territoires pourvues par les acteurs associatifs.

 

9/ Inciter l’engagement des jeunes via un renforcement des moyens alloués au service civique
Se donner dès 2021 au service civique les moyens de changer d’échelle, et de se développer massivement sur les prochaines années pour faire face aux besoins, tout en préservant ce qui fait sa qualité et sa richesse (tutorat, temps de formation citoyenne, souplesse dans la durée des missions entre 6 et 12 mois, en revenant à une durée moyenne de 8 mois).


10/ Soutenir l’accompagnement des associations par un renforcement des moyens dédiés
Organiser une politique coordonnée et allouer des moyens dédiés pour soutenir les têtes de réseaux associatives dans leur rôle d’accompagnateur et appuyer le renforcement de leurs compétences ainsi que l’animation et la coordination des acteurs de l’accompagnement sur les territoires.

 

 

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10 mesures pour les associations

 

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Covid et Économie sociale et solidaire

 

logo mouvement associatifEn Hauts-de-France, le Mouvement associatif a mené l’enquête avec ses partenaires sur les impacts de la Covid-19 ressentis par les responsables associatifs de la région.


En période de déconfinement, trois préoccupations immédiates émergent. Pour les trois quarts des associations, la capacité à mettre en œuvre les gestes barrières est la première d’entre elle. Rouvrir locaux et structures d’accueil, poursuite des relations avec les adhérents et remobilisation des bénévoles, d’une part, confirmation des partenariats financiers, d’autre part, sont les deux suivantes pour 41 % des responsables.

 

Les impacts en Hauts-de-France


Face à la crise sanitaire, plus de la moitié des associations a rencontré des difficultés dans la mise en place de solutions qui, principalement, n’étaient pas adaptées au monde associatif et lourdes à mettre en œuvre. Ainsi, les deux tiers des associations ne pourront reprendre leur activité habituelle qu’à compter de septembre.


Pour 30 % des structures, la perte des revenus d’activité se chiffrera à 20 %. Durant la période de confinement, près de sept associations sur dix n’ont ainsi pas pu maintenir plus de 20 % de leur activité, et près de neuf sur dix ont dû annuler des évènements. Au 15 juin, un tiers des associations voyaient encore la totalité de leurs salariés être en chômage partiel.

 

Une enquête nationale post-déconfinement

Au niveau national, le Mouvement associatif a mené plusieurs études, notamment dès la mise en place des mesures de confinement afin d’en mesurer l’impact sur le tissu associatif.


Avec le déconfinement, le Mouvement associatif et ses partenaires ont mené du 18 mai au 15 juin 2020 une enquête auprès des responsables associatifs. L’analyse des réponses de 13 500 associations permet de prendre la mesure de l’impact économique de la crise sanitaire et des besoins à venir. Cinq points peuvent être mis en exergue.


Des associations largement à l’arrêt
Plus des deux tiers des associations ont fonctionné à moins de 20% de leur activité normale sur la période du confinement. Les plus touchées par cette mise à l’arrêt sont les petites associations culturelles, sportives ou encore celles l’éducation populaire et de l’animation.


Un impact économique majeur

Le premier effet de la crise sur les associations est la grande incertitude face à leur avenir : 30 000 associations seraient menacées à court ou moyen termes. Près d’un tiers des associations disent manquer de visibilité sur le plan financier : 16% n’exécuteront leur budget qu’à 40% ou moins tandis que 2% n’excluent pas un dépôt de bilan. 


L’emploi menacé
Les deux tiers des associations employeuses ont toujours recours au chômage partiel, et 40% souhaitent le maintenir le plus longtemps possible. Un tiers craignent ne pas pouvoir maintenir leur effectif salarié en l’état et 20% pensent reporter recrutement.


Une demande de soutien pour la reprise d’activité
Si elles souhaitent une reprise d’une activité normale, les associations demandent la garantie de soutiens à la fois techniques (moyens de protection, outils de maintien de la vie associative à distance, aide à la communication) et surtout financiers (confirmation des subventions, maintien d’une aide financière exceptionnelle, besoin de dons).


Se tourner vers les collectivités territoriales
Enfin, une association sur deux prévoit de solliciter un soutien de la part de leur région, département ou encore intercommunalité, plus proches de leurs préoccupations face à des dispositifs d’Etat jugés peu adaptés.

 

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Les associations face à la crise 
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Covid-19 : 10 mesures demandées pour les associations

vote 5e brancheQuelques jours avant le remaniement ministériel, Laurent Vachey, inspecteur général des finances, a été désigné par Olivier Véran, Gérald Darmanin et Sophie Cluzel pour préfigurer la cinquième branche de la Sécurité sociale que sera l’autonomie.


Annoncée depuis de nombreuses années, si ce n’est décennies, la cinquième branche était devenue une sorte de serpent de mer des gouvernements et de la Sécurité sociale. Il semble que la crise sanitaire de la Covid-19 qui a particulièrement affecté les personnes âgées a remis le projet sur les rails.


À la tête d’une commission ad hoc et devant mener une large concertation avec les auteurs du grand âge et du handicap, les partenaires sociaux et les collectivités locales, Laurent Vachey devra formuler des recommandations sur le périmètre de la nouvelle branche, son financement, sa gouvernance, avec la CNSA comme pilote et son articulation avec les politiques relatives au grand âge et au handicap. Après l’échec de la commission mixte paritaire puis le vote négatif du Sénat, l‘Assemblée nationale a adopté le 23 juillet 2020 le projet de loi et le projet de loi organique déposés par le Gouvernement.

 

MIse en œuvre au 1er janvier 2024

 

Le texte voté autorise le fléchage vers la perte d'autonomie, à partir du 1er janvier 2024, d'une fraction de contribution sociale généralisée (CSG) - 0,15 point soit 2,3 milliards d’euros - aujourd'hui consacrée au remboursement de la dette sociale. Il s'agit d'affecter à la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) un quart de la CSG actuellement affectée à la Caisse d’amortissement de la dette sociale (Cades). Créé de façon provisoire en 1996 pour apurer la dette de la sécurité sociale, la Cades doit sécuriser la situation financière du système de protection social. Il est ainsi prévu un transfert de 136 milliards d’euros de dette sociale à la Cades, dette accrue par la crise sanitaire de covid-19 qui a faut chuter le montant des cotisations sociales des organismes de sécurité sociale. La Cades devra avoir remboursé la dette sociale d’ici 2033 au lieu de 2024.

 

5 branches métiers

 

Les autres branches de la sécurité sociale sont :

On distingue quatre types de risques, qui forment les quatre branches de la Sécurité sociale, auxquelles s’ajoutent la branche cotisation et recouvrement, qui n’est pas à proprement parler un « risque » :
• la branche maladie (maladie, maternité, invalidité, décès) ;
• la branche famille (dont handicap et logement...) ;
• la branche accidents du travail et maladies professionnelles ;
• la branche retraite (vieillesse et veuvage).
• La branche cotisation et recouvrement

La branche maladie
La branche Maladie assure la prise en charge des dépenses de santé des assurés et garantit l’accès aux soins. Elle recouvre les risques : maladie, maternité, invalidité, décès.


La branche famille
La branche Famille gère les prestations familiales sur 4 domaines prioritaires : l’accompagnement des familles dans leur vie quotidienne, l’accueil du jeune enfant, l’accès au logement, la lutte contre la précarité ou le handicap.


La branche accidents du travail - maladies professionnelles (AT-MP)
La branche AT/MP gère les risques professionnels auxquels sont confrontés les travailleurs


La branche retraite
L’ensemble des régimes obligatoires de base ou complémentaires de retraites fonctionne en France sur le mode de la répartition. Les régimes redistribuent au cours d’une année, sous forme de pensions versées aux retraités, les cotisations encaissées la même année auprès des actifs.


La branche cotisations et recouvrement
La branche recouvrement est chargée de collecter l’ensemble des cotisations et contributions de sécurité sociale auprès des entreprises, particuliers, etc. Ces fonds sont ensuite redistribués aux caisses de sécurité sociale pour financer l’ensemble des prestations (maladie, vieillesse, famille). D’autres organismes bénéficient également de ce financement (Cades, Fonds de solidarité vieillesse, etc.)

 

 

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5e branche 
Sécurité sociale 

Logo ERBMDepuis trois années, les actions se succèdent dans le Bassin minier, menées par l’État et les collectivités locales et les partenaires territoriaux pour améliorer la santé des habitants dans le cadre du plan de la lutte contre la pauvreté de l’État.

 

La plan de lutte contre la pauvreté (axe Redonner du mouvement au territoire) est au cœur du dispositif Engagement pour le renouveau du Bassin minier (ERBM), signé en 2019 par l’État et les deux départements du Nord et du Pas-de-Calais lors de la 2e conférence des acteurs de lutte contre la pauvreté.

 

Trois actions phares pour le Bassin minier

 

 Petite enfance, santé et parentalité sont les trois actions qui ont été ciblées en 2019 : prévenir les « sorties sèches  » des enfants pris en charge par l’action sociale à l’enfance (ASE), la protection maternelle et infantile, la lutte contre l’illettrisme et le développement des internats pour la réussite scolaire.

 

Bassin minier

 

La santé à la main de l'ARS : prévention et offre de soins


Du côté de la santé (axe Améliorer la santé des habitants), l’ARS a déployé sept adultes relais médiateurs santé dans trois structures intercommunales, soutenu deux ateliers santé ville, créé un conseil local de santé mentale et renforcé un deuxième. Trois mises en œuvre de contrats locaux de santé ont été accompagnées ou signées, avec l’intégration de parcours de santé des enfants et des jeunes ainsi que des plus démunis.


En matière de prévention, des actions contre les addictions ont été menées, dont le dispositif Lieux de santé sans tabac, notamment dans les maisons de santé. D’autres concernent le repérage et le dépistage précoce des cancers et des maladies cardiovasculaires, particulièrement en pharmacie, le renforcement des consultations jeunes consommateurs ainsi que la construction de partenariats avec des établissements accueillant des jeunes ou avec les centres sociaux et les missions locales.

 

Le bassin minier en zone d'intervention et d'accompagement 

 

Pour l’offre de soins, de nombreux secteurs du bassin sont classés en zones d’intervention prioritaires ou d’accompagnement complémentaires. Cinq centres de santé et sept maisons de santé pluriprofessionnelles ont ainsi été autorisés et ont bénéficié avec les autres structures d’exercice coordonné, d’aides financières d’équipement et d’accompagnement pour la télémédecine.

 

Sport et santé


Enfin, dans ce même axe sur l’amélioration de la santé des habitants, deux actions ont caractérisé la pratique sportive qualifiée de vecteur de santé : la reconduction en 2019 de la bonification de projets d’équipements sportifs du bassin minier par le Centre national pour le développement du sport et le soutien au pôle d’excellence sportive–sport santé et performance de Lens Liévin/Cluster Vivalley, pour la création d’un live-labs sport favorisant la création de nouveaux lieux de pratique sportive intégrant les dernières évolutions technologiques et numériques.

 

Des programmes alimentaires territoriaux


En matière d’alimentation enfin, la Draaf a accompagné le projet alimentaire territorial (PAT) de la communauté agglomération Lens-Liévin. Elle a soutenu en divers lieux du bassin minier la création de jardins partagés, l’accès aux fruits et légumes bio pour les plus démunis et pour la restauration collective, des ateliers d’éducation au goût et des ateliers culinaires pédagogiques, la sensibilisation contre le gaspillage alimentaire et le programme Vivons en forme.

 

 

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